Wednesday, January 16, 2013

BORACAY, L'ENDROIT ... AUX PHILIPPINES !



Avant de vous laisser en compagnie de Ja et de Jb qui poursuivent leur quête du bonheur sur l’archipel du sourire, quelques petites remarques et suggestions.

Boracay c’est un peu, en tout petit, le Copa Cabana local.
Pour vous situer Boracay, dans la partie nord des Visayas, pratiquement au centre du pays.


De superbes plages, une des vies nocturnes les plus animées au monde, voir à ce sujet mon post « des îles, encore des îles » sur < www.philippinestoursetvoyages.blogspot.com >, néanmoins c’est tout petit. Sept kilomètres de long et quatre en largeur, vous ne pouvez pas vous perdre, oui ... mais la gent féminine, en fonction des saisons, est tout de même limitée, pour ne pas dire parfois très limitée.

Donc et croyez-en mon expérience, une bonne tactique consiste à apporter son sandwich.
Saucisson beurre, mon préféré, au jambon blanc ou fumé, pâtés divers, etc.
Même une petite terrine ou un saumon fumé peuvent faire l’affaire.
Pour les raffinés et les gourmets, quelques toasts grillés et beurrés, recouverts de caviar Bélouga sur lesquels ont laisse tomber quelques gouttes de citron … un délice.
N’oubliez pas le verre de vodka, cul sec !

Le plus simple ou si vous êtes pressés, le former LA café, le Manila Bay Cafe offre de nombreuses opportunités. Si vous avez un peu plus de temps à passer à Manille, les terrains de chasse présentés dans mes différents posts, offrent également de nombreuses possibilités. Evitez les danseuses et autres entraineuses des bars, cela coûte cher et en général … pas terrible.

Ca y est, vous avez repéré votre sandwich, le bon choix ?
Il va falloir maintenant peser et envelopper, car c’est pour emporter.

Donc vous allez faire la proposition suivante, après avoir au minimum, discuté quelques temps avec la jeune personne ; j’ai bien dit ‘’au minimum’’.

Qu’allez-vous lui dire ?
« Je dois me rendre à Boracay (mot magique pour certaines Pinays), je me sens seul et souhaiterai avoir votre compagnie durant ce séjour ». Je vous invite donc à vous joindre à-moi, tous frais payés, plus une petite indemnité, hebdomadaire par exemple. Indemnité que vous allez négocier librement avec votre futur compagne.


Parlons prix, combien cela va-il vous coûter ?
Taxis, chambre d’hôtel … rien, le même prix.
Un aller retour Manille Kalibo : Php 2.000, moins si vous savez comment faire (voir Zest Air).
Repas plus boissons, comptez entre Php 500 et 1.000 par jour.
Son salaire hebdomadaire, à négocier, entre Php 2.500 et 5.000.

Si vous savez y faire, cela doit tourner autour de Php. 10.000 pour la semaine.
Piquer une des plantes qui poussent sur Boracay ?
Php 2.500 par soirée, plus éventuels repas et boissons …

Faites le bon choix !


Afin d’éviter tout problème, rare tout de même, j’ai un ami extrêmement précautionneux qui fait signer à l’élue un petit document. Document dans lequel elle reconnait être embauchée comme ''accompagnatrice'', avec un salaire de Php. x par semaine.

L’avantage d’avoir sa ‘’Pinay’’ est que celle-ci va vous protéger, la ‘’Pinay’’ est très protectrice.
De plus elle va vous faciliter les relations avec les locaux et enfin elle va négocier les prix pour vous ; de façon à ce que le ‘’pigeon’’ inscrit sur votre front disparaisse. Ceci pour les newbies, les nouveaux arrivés.


JOUR 4 : départ pour BORACAY….

Nous quittons donc à regret ANGELES en direction de MANILLE.
Le trajet se fait sans problème.

 Nous sommes tombés sur un super chauffeur de taxi. Conduite prudente, pas bavard. 

Jb dort. Moi ça va, j’ai la forme.
Arrivé à MANILLE, nous attendons une petite heure à l’aéroport et arrivons à BORACAY vers 16 heures.

Après un petit trajet en tricycle et une quinzaine de minutes en bateau, nous débarquons à BORACAY.
Ça faisait longtemps.
Quatre mois après me revoilà, troisième séjour en 1 an.
Mars – Juin – Novembre : je connais toutes les saisons, quatre fois en un an, je me sens comme à la maison.

Et ce que j’apprécie, c’est le climat.
Saison sèche, saison humide, pas vu trop de différence : j’ai toujours pu me baigner.
Toujours la même tenue : short / maillot de bain – t-shirt – tongs… LA BELLE VIE… (éviter quand même le mois de mars, car il y a des algues vertes et ça gâche le paysage).

Petit conseil, en sortant de l’aéroport, ignorez les personnes qui vous proposent de gérer le transfert aéroport île de Boracay. Allez de suite à la station de tricycles en face de la sortie, payez une modique somme et en cinq minutes vous arrivez au port.
Là, faites l’effort de porter vos valises et vous ferez des économies.

Nous avons réservé un hôtel sur internet station 2, le centre-ville de BORACAY.
Après avoir séjourné 3 fois à la station 3 et une fois à « DINIWID BEACH », je souhaitais être au centre, au plus près de l’agitation.
Autre contexte.


Donc nous descendons à D’MALL, que l’on peut comparer au centre-ville d’une ville avec tous les commerces et restaurants, etc.

Boracay est une petite île de 7 kms sur 4 kms à peu près. Nous marchons un peu et arrivons dans une rue…. en terre battue et à l’hôtel.
Petit hôtel sans prétention et pas de vue mer. J’ai connu mieux, à oublier.

L’environnement est « local » ! Nous sommes chez les locaux. Ça ressemble à une maison. La chambre est correcte, propre, il y a une safety box, une clim (bruyante, mais une clim).
Il est 18 h 00. Je ne suis pas bien du tout, je subis le contrecoup des jours précédents.
Claqué, pour moi c’est clair ... ce soir, c’est dodo.

Julien, après une sieste, est motivé pour sortir, comme je le comprends, on est à BORACAY. Moi, non et puis je connais … Je me réserve pour le lendemain.

Nous allons quand même manger dans un de mes bars préférés à D’MALL : le Rumba bar, qui a une excellente carte au menu, surtout si vous aimez manger de la viande : t-bone etc. Par contre, ce n’est pas donné : 800 PHP.
C’est BORACAY, tout est assez cher, bon point pour le RUMBA = le personnel. Quel plaisir pour les yeux. Et ils ont de la Guinness…

En un an, c’est l’un des seuls endroits où le staff n’a pas changé ; ce sont toujours les mêmes serveuses, donc je suis en terrain connu…
Un petit « hello how are you ». Bon la dernière fois, j’étais en bonne compagnie. Par contre, ce soir …  je commande un jus de mangue, et après avoir fini notre repas nous nous séparons Jb et moi.

Jour 2 :

Je me réveille vers 9h00 en forme et décide d’aller prendre un petit-déjeuner « filippin » (il faut aimer le riz au petit-déj’ mais j’ai l’habitude : en juin, c’était filipino breakfast tous les matins). Je marche 10 minutes en direction du point central de station 2 = le RED COCONUT. Après avoir bu deux cafés, qui je vois débarquer ?

C’est la vérité !!!
Rien n’était prévu - mon ami Jb qui me raconte sa soirée   - épique – non, il n’est pas sorti à l’EPIC CAFE de Boracay, mais sa soirée a été épique. Il avait déjà oublié ANGELES.
Il avait commencé au NIGI NIGI, bar de plage sympa (sièges en osier) entre la station 2 et 3, et après… il en a fait des bars.

Il est allé au CLUB PARAW. C’est quelque chose le Club Paraw…
Moi, je ne danse jamais, sauf au Club Paraw.  Il y a une ambiance festive, une bonne ambiance, comme on ne retrouve pas en France. Tout le monde a le sourire, la pêche…

Les filles sont déchaînées. Les « filipinettes » adorent danser… Les touristes sont heureux. D’ailleurs, on croise toujours de belles australiennes, déchaînées elles aussi. J’ai en mémoire un touriste, en mars dernier, la cinquantaine, qui portait un bermuda avec des mocassins et une chemisette à fleurs, déchaîné il était.

Et, ils (les barmen du Club Paraw) servent des verres énormes, des bols, pas très chers. Toujours est-il que je conseille ce bar de nuit avec piste de danse. Et bien sûr, l’entrée est gratuite et look de circonstance : short – t-shirt (la chemise ça fait trop habillée) et tongs.

C’est le mieux à Boracay. Il se trouve au début de la station 1 et l’entrée est gratuite - relax ce sont les vacances …  Il y a deux bars : je vous conseille le bar près de la plage. On entend le bruit des vagues et il y a des tables. Et on est bien.

Concernant les filles, je vous décrirai « ça » le jour d’après. Soyez patients !
 La musique est généraliste avec des hits « ‘filippins’ comme guy sebastian who’s that girl ».

Donc Jb avait passé une bonne soirée et une bonne nuit (discount price = 1500 PHP).

Après nous sommes allés vers la station 3 au Congas bar prendre un jus de fruit et profiter de la plage : quel bonheur de pouvoir se baigner.

Je remarque en marchant qu’il n’y a pas grand monde cette année à la station 3. C’est mort c’est pourquoi les gens qui disent que Boracay c’est la côte d’azur, je m’inscris en faux.
Là, par contre, il n’y a personne. Je reste facilement 35 minutes dans l’eau, je reviens au bar où Jb s’est endormi !
Après avoir fait la bise à la serveuse, souvenir de mon premier séjour en 2011, le temps de finir mon « jus de mangue», nous allons manger chez l’autrichien.

Oh surprise, que de changements en quatre mois.
Nouveau staff, nouvelle déco, gros travaux, il a investi « grave », ça n’a plus rien à voir avec la petite guinguette des débuts…

Par contre, l’autrichien est bien présent. On lui dit bonjour.
Il n’a pas changé, la San-Mig, l’ordinateur posé sur le bar, la cigarette et la chemisette ouverte.

Quelle santé !!!
Nous avalons une petite salade (avec peine) et une San-Mig. Jb, l’alsacien, qui adore les saucisses frites … ça fait pitié. L’assiette est à moitié pleine, le gâchis. Il me dit «  il faut que je dorme ».
Ok, let’s go.

Pendant que Jb dort, je profite pour aller marcher sur la fameuse « WHITE BEACH » et constate avec plaisir que c’est calme, pas grand-monde cette année.


Je vais ensuite en fin d’après-midi au RUMBA BAR, j’adore les serveuses.
Je papote un peu avec la « chef ». « you again ? Where do you live ?
You are alone ? Where is your girl friend ? »

Bref, après deux Guinness… IL EST TEMPS DE REVENIR REVEILLER Jb.
Je suis dans une forme olympique… I MISS YOU BORACAY.
Je retrouve donc Jb à l’hôtel et après une douche, nous voilà partis.
Direction un petit bar qui se situe près du  restaurant TY BRAZ, 150 mètres après D’MALL.

C’est un petit bar en extérieur, mais une adresse à connaître. Pourquoi ?
La musique donne la pêche, dès 16 h, c’est happy hours et le patron australien a le sens du commerce. C’est facile de se faire payer un verre. De plus, il fait toujours un bon casting.

Les « barwomen » (waitresses) sont magnifiques,  très avenantes et parlent avec vous.
Il y règne une ambiance très conviviale. On discute avec tout le monde. Les barmen sont très sympa aussi.

J’adore ce bar…. Il y a aussi des « poufs » posés sur le sable, c’est le côté lounge. Pour les amoureux. Bon, ça tombe bien, ce soir, nous sommes en solo. Par contre, en novembre 2011, il y avait un casting de folie avec des serveuses plus âgées et qui faisaient le show. J’ai un ami qui a invité une serveuse ; ils ont passé de bons moments.

C’est pour cela à BORACAY, on peut draguer des serveuses. Après, cela peut être des aventures sans lendemains, chacun voit midi à sa porte.
Donc l’adresse : En face de l’HOTEL APPARTMENT, après le TYBRAZ, en face du tribal jam. 

C’est très dur quand on « pose » son cul d’aller voir ailleurs. Mais nous avons faim et allons à D’MALL manger une paëlla….

WHAOU … les serveuses !
Je suis amoureux, que des bombes. 
Le prix est conforme à BORACAY.
Pour les petits budgets, préférez les restaurants et échoppes sur la main road. On divise par 3-4 les prix. A garder en mémoire. Sinon, vous pouvez aller aux marchés le matin : poissons, etc.
 Ce n’est pas cher et c’est sympa. Il y a D’TALIPAPA près de la station 3 et un autre bien caché entre la 2 et la 3.

Après cet excellent repas, nous partons boire un verre au RED COCONUT.
Le bar est full !
Il y a quelques filles… non accompagnées. Dans les nombreux bars, il y a toujours des filles non accompagnées. Cela peut être des vacancières, des pigistes qui viennent de Manille ou de Kalibo.

Je conseille aussi le CHARL’S BAR entre la station 3 et la 2, endroit sur la plage insolite. Le groupe, le band, est placé derrière le bar et c’est toujours plein. Bonne ambiance. Enfin, il n’y a que çà …  DES BARS DE PLAGE et encore des bars et des plages.
Donc après avoir bu deux verres (je m’en souviens ce coup-ci), nous allons à ma demande, dans mon bar préféré le COCOMANGAS.

Je me fais une joie d’y retourner. C’est un bar situé non pas sur la plage, mais sur la route principale au début de la station 1. Prenez un scoot’ à D’MALL et en cinq minutes pour un prix modique, vous y êtes (50 pesos, IT’S UP TO YOU !).

Le Cocomangas…. Une ambiance de folie. Arrivez vers 21 heures si vous voulez une place au bar.
Je vous conseille de vous asseoir entre les deux bars près des cuisines, c’est le meilleur emplacement si vous êtes célibataire en quête d’un ‘’cœur’’ à prendre.
Laissez la magie opérer … et je vous garantis que vous ne sortirez pas tout seul !
C’est le Cocomangas.

Bien sûr, ce n’est pas gratuit. Parlons prix = 2000 à 3000, 3000 étant le maximum, 2500 c’est le juste prix. Maintenant, ne dites rien, attendez le lendemain. C’est un conseil … DE SAGE.
Commencez par dire 2000, et ça passe à 40 %.
Bien sûr, vous allez profiter de la soirée et vous allez devoir payer quelques verres à la demoiselle, mais vous êtes là pour ça. Pour vous amuser, ce sont les vacances.

Petit résumé : le bar a une piste de danse, le boss est australien, il ferme à 2 heures et c’est toujours le feu.  Novembre, mars, juin, novembre, il y a toujours du monde.
Je n’ai jamais vu de bagarres et pourtant ça « picole ». On appelle le Cocomangas : le still standing … after 15 ! Concours à la con = qui peut boire 10 verres, etc.
Pas pour moi.

Donc, bien sûr, je vois mon barman préféré : « Oh mister COME BACK AGAIN ». Je n’ai pas le temps de lui dire ce que je veux boire que mon whisky coke est devant moi.
Le salaud, il a mis la dose ! Jb, lui, reste à la san mig light, moi, ça ne passe plus.


Nous sommes debout, ce qui m’embête un peu.
Je regarde l’assistance, à la recherche de personnes que j’aurais pu connaître par le passé. En fait, je recherche Maribel (ça serait trop long … je zappe) et je reconnais une nana. Je vais la voir, lui fait la bise et elle me raconte sa vie : « elle vient juste d’arriver pour deux mois ». Elle est gentille et tout et tout, mais nouvelles vacances.

Je veux du changement, surtout que Maribel n’est pas là.
Petite dépression. Alors que j’arrive à avoir une place au bar, une « jeune demoiselle » vient me voir : « bonjour ». Oh, la copine de Maribel. J’en profite pour lui demander où est Maribel, puisqu’elle ne prend plus le temps de me répondre sur facebook ou yahoo.

J’apprends qu’elle se trouve à Manille. 
JE LE GARDE DANS UN COIN DE MA TÊTE, VOUS COMPRENDREZ POURQUOI.

Donc, de fils en aiguille(s), nous discutons et je la trouve de plus en plus belle !!
Jb, quant à lui, est toujours en phase d’observation !

Pour les célibataires qui se rendront à Boracay, novembre est un bon mois. Juin, c’est assez vide et novembre, c’est juste le début de la haute saison. Donc, « y a du choix » (je n’aime pas trop cette expression mais c’est la vérité et c’est un récit sur la vie nocturne). Ou du moins « y a des possibilités ». Après une heure, on décide d’aller en face, au Club Paraw.

Nous nous installons au bar du fond, près de la plage. Je commande un whisky coke.
J’avais oublié que c’était des bols… Dur.
A gauche, juste à côté de moi au bar, il y a deux nanas très avenantes : elles sont en « chasse » Jb cède. Il y a le commencement d’une petite querelle entre les deux demoiselles : « C’est moi qui l’ai vu avant. ».  Moi, entre temps, je m’éclipse et je vais voir au bar à côté, le GUYLLIS. Il n’y a pas grand-monde.

Je discute avec la serveuse, charmante et elle commence à me mimer la danse des épaules.
Jb est passé par là hier soir.
Bien joué l’artiste !!!
D’ailleurs, au cours des vacances, il aura des regrets de ne pas l’avoir invitée. Mais bon, une prochaine fois peut-être ?


Je retourne donc au Club Paraw et retrouve Cathy. Jb est déchaîné sur la piste avec sa copine du moment. Elle est en forme. D’ailleurs, ce soir, y a du beau monde …

Le problème au Club Paraw, on ne sait pas qui est qui.  Des pigistes, des pros, des touristes, ce soir, il y a du lourd. Moi je suis en bonne compagnie et j’essaie de terminer péniblement mon whisky imbuvable, car trop corsé. Je sais que je vais passer une bonne nuit donc tout va bien, je connais la « bête ».

Après le Club Paraw, nous allons en direction de la station 2 au Summer Place, autre lieu fameux de Boracay. Il s’agit aussi d’un bar avec une piste de danse. Nous terminons la soirée là-bas.

En fait, en un an, il reste un « noyau dur » de nanas qui ont leur fief au Cocomangas et au Club Paraw ; je dirais une quinzaine ce soir-là que je reconnais. Après, tout est possible.

Pour ceux qui sont réfractaires aux bars, marchez sur la plage et vous ferez (peut-être, c’est du vécu) des rencontres « sympathiques ». Attention cependant aux tarifs, j’ai eu, une fois, un 4000 PHP (souvenir souvenir, Monsieur Jb ! 1ere soirée mars 2011, les deux frangines au Tree House). Nous n’avons pas payé ce prix, je vous rassure. Elles essaient …

Je parle tarifs, car ce blog, ce récit a pour thème : vie nocturne. Je tiens à le préciser une nouvelle fois ! Si cela choque certaines personnes, désolé.
Donc un conseil = POINT CLE = préférez toujours des filles qui dansent, qui ont un peu picolées aux nanas scotchées aux sièges … EXPERIENCE … BORACAY.

Conclusion de ce 2ème jour à BORACAY : une nuit de folie, le truc en plus. Je me dis que je suis chanceux. Le lendemain matin, rebelote, le prix : « it’s up to you… ok, 2000 »  bon je lui ai donné 2500 … Nous nous séparons et je lui demande si je peux la revoir cet après-midi. Elle me dit ok : rendez-vous pris au Red Coconut vers 14 h 30.

À toutes et à tous excellente semaine.

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